Le photographe italien Gustav Willeit a mis en image la fragilité de l’homme face aux montagnes dans sa série Perat.
Des paysages grandioses avec une silhouhette humaine qui semble bien impuissante face à la nature.
The mountains, depicted in their architecture of incredible variants and infinite chromatic shades, unveil another essential yet invisible element: silence – the kind of silence inviting the viewer to listen to it. This silence is not disturbed by the presence of the human figure, which is placed in these landscapes like an attempt to present a familiar and graspable element. Yet the effect is quite the contrary: the human figure is not reassuring but escapes reason by raising a feeling of senselessness and impotence.
Après ces extraits de naturae, naturae VII et naturae VIII, voici donc quelques images de Perat, expression de la fragilité de l’homme face aux montagnes par Gustav Willeit:
(plus de ses clichés sur le site web du photographe ici ou sur sa page behance là)
toutes les photos: credits Gustav Willeit (CC BY-NC-ND 4.0)
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face aux éléments de la nature, non ?
belle ambiance en tout cas, et, c’est vrai, nous sommes tellement fragiles face aux éléments ^^
oui face aux éléments de la nature… j’ai changé mon titre au dernier moment, au départ c’était la petitesse de l’homme… publié trop tot le matin, pas réveillé 😀
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