L’artiste de Séoul Yeesookyung fusionne les traditions artisanales coréenne et japonaise dans ses sculptures, des assemblages de morceaux de porcelaine au fil d’or.
Réutiliser des bouts de porcelaine fait référence à l’usage coréen de jeter les céramiques avec de petits défauts et leur réparation vient du Kintsugi japonais (en voir des exemples ici par Charlotte Bailey).
to me, a piece of broken ceramic finds another piece, and they come to rely on one another. The usage of gold in the cracks between them is related to the Korean language, for which the pronunciation of the word ‘gold’ and ‘crack’ sounds the same as ‘Geum’. Indeed, the shapes of the vases present entirely organic forms which exist out of an innate and sensorial élan
Des éléments de sa série Translated Vase sont présentés dans l’exposition I am not the only one but many à la galerie Massimo De Carlo de Londres jusqu’au 21 novembre(lien).
Après les réparations de porcelaines cassées de Glen Taylor ou ces compositions par Bouke de Vries, voici quelques assemblages de morceaux de porcelaine au fil d’or de Translated Vase – du Kintsugi par Yeesookyung:
(plus de ses créations sur le site web de l’artiste ici ou sur son compte instagram là)
toutes les photos: crédits Yang Ian & Massimo De Carlo.
Via colossal.
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